Verbe transitif
En langage littéraire, orner, décorer, apprêter avec raffinement (vieilli).
Par exemple : « Elle (…) riait des plaisanteries qu’un ivrogne adressait à une très vieille et très innocente prostituée dont la décrépitude s’adornait de perles, d’opales, de brillants, de saphirs, d’émeraudes et de rubis faux. » (Francis Carco, Messieurs les vrais de vrai, 1927)
Étymologie :
Emprunté au moyen français aorner (« apprêter, orner »), du latin adornare (de même sens).
Sources :
- Fiche dans le Trésor de la Langue Française informatisé ;
- Définition dans le Wiktionnaire et le dictionnaire de L’Internaute.
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